Le repos

Le repos

Le Plan de Stéphanie

Nous étions en voiture, Stéphanie et moi, roulant vers la maison de Kerberiou.
Kerberiou est une maison de convalescence. Je subis actuellement un gros coup de fatigue. Le médecin, docteur Lagadec Lénaïc (une amie de Stéphanie),  m'a prescrit une semaine de repos.
Et oui, je travaille trop. Du moins je suis trop longtemps devant mon pc.
Officiellement je travaille, ce qui est vrai. Mais je glande aussi....
Je passe du temps sur des sites comme abkingdom. Je suis un fétichiste des couches-culottes. Stéphanie le sais; même si elle ne l'a pas dit au médecin.
Mais voila, mon corps a crié STOP. Je dois me reposer.
Alors, j'ai fait ma valise, et Stéphanie me conduit vers ma semaine de repos.
Elle m'a demandé de porter un pullup sous mon pantalon, comme nous le faisons parfois dans nos jeux. Je n'étais pas pour, mais elle m'a convaincu. Je ne vais là bas que pour me reposer, je me changerai dans ma chambre, à ma guise. J'ai tout de même pris la peine de passer un caleçon par dessus...

Sur la route Stéphanie conduit. Quelle femme Magnifique ! Des yeux bleus verts, des cheveux entre blond et châtain, mi-long. Un sourire illumine son visage. Elle sait que je la regarde et qu’elle me subjugue. Je l’aime. Ses seins, ses fesses…. Elle porte toujours de la lingerie qui me fait tourner la tête. En plus de cela elle est toujours attentionnée. Je suis un homme chanceux et heureux.


Nous arrivons vers 16h00 à la maison de Kerberiou. C'est un grand manoir, au milieu d'un parc entouré d'un mur...
Le parc est magnifique, et il fait beau en ce début mars : le printemps avant l'heure. Au moins je vais passer une semaine dans un cadre agréable.

Nous nous garons devant l'entrée. Stéphanie descend de voiture et me dit: "viens on va passer à l'accueil".
Je sors de voiture. Je m'apprête à prendre mon sac à l'arrière, mais Stéphanie me dit : "ne t'encombre pas, tu le prendras après".
Je la suis donc à l'intérieur.
Nous sommes accueillis dès le seuil de la porte : "Mme Bellec? Bonjour, Isabelle Lescop heureuse de vous voir".
Isabelle est une femme dans la trentaine. Très élégante, elle m'impressionne. Sa chevelure rousse ondule au gré de ses pas. Ses grands yeux bleus semblent conçus pour hypnotiser les hommes.
Sa voix, douce et sensuelle vous ensorcelle : une femme à qui ont ne peut résister !
Stéphanie : "Enchanté également. Voila Régis, dont je vous ai parlé au téléphone...."
Isabelle : "Bonjour Régis, vous avez fait bonne route?"
-"Oui merci".
Isabelle: "ne perdons pas de temps passons aux choses sérieuse. Suivez-moi"

Isabelle nous conduit dans une pièce ressemblant à un cabinet médical, la pièce est munie d'un divan recouvert d'une alèse, de nombreux placard.
"Tu vas rester ici Régis, Léa va venir s'occuper de toi...je vais remplir les documents administratifs avec Stéphanie".
Stéphanie me lance :" Kenavo mon bébé".
Je n'ai pas le temps de répondre qu’Isabelle a refermé la porte, me laissant seul.
Qu’est ce que ça veut dire?
Soudain la porte s'ouvre et entre une femme la quarantaine avancé, vêtu d'un uniforme de nurse semblant remonter des années 50.
Une robe bleu arrêté à mi cuisse. Un tablier blanc, des bas.
"Bonjour, je suis Léa, déshabillez vous que je vous remette votre tenue de pensionnaire".
-déshabillé ? Complètement?
Elle rie: ben oui, j'en ai vu d'autre!
Elle se plonge dans mon dossier médical. " Qu’est ce qui vous amène ici?"
- le surmenage, il me faut du repos.
Je me retrouve en caleçon devant cette femme-qui en a vu d'autres et me toise...
La nurse, que je suppose être Léa interrompt sa lecture : "ha, ok... je ne savais pas ça...". Levant les yeux de son dossier, elle me regarde avec un sourire à mi chemin entre l'amusement et  le dédain, son regard se pose sur mon caleçon, légèrement déformé par le pullup :" je reviens..."
Elle sort en claquant la porte me laissant à nouveau seul...
Décidément...
Je regarde autour de moi, la pièce est doté de mur matelassé, le divan, est en fait un lit bien scellé au sol, plus large qu'un lit une personne, et recouvert d'une sorte d'alèse. dessous le lit un placard de rangement que je m'apprête à ouvrir.
La porte s'ouvre, Léa Entre, poussant un chariot.
Elle est accompagnée d'une autre nurse, plus jeune, environ 25 ans, blonde au carré, lunette stricte.
Cette fois elle semble plus détendue. D'un air presque amusé : "allonges toi, je dois te mettre une protection".
Je rougis : "-Une protection?"
-"une couches si tu préfères".
-une couche?
-oui, c'est précisé sur ton dossier médical.
-euh mais non, ce doit être une erreur.
-c'est noté noir sur blanc : énurésie et fuite urinaire.
-mais, ce n’est pas possible, j'ai 35 ans.
-C'est bien toi Régis Bellec?, je ne me trompe pas de dossier
-« mais je vous assure! Ou alors c'est une plaisanterie, c'est ma femme qui à rempli le dossier. Sans doute pour se venger de... » Je me reprend : «  enfin vous voyez, des petites vacheries? Elle est encore à coté dans le bureau du Docteur demandez lui... »
-Ecoute je n'ai pas de temps à perdre, tu enlèves aussi ton caleçon, alors tu t'allonges juste en pullup, je fais mon boulot et après tu géreras avec le docteur Lescop. OK?
Zulte, le pullup, elle l'a vue :"-mais..."
Elle m'interrompt: -"tu préfères que j'appelle de l'aide? La manière forte?"
Je me ravise : -"non...je..."
-bon alors allonges toi en pullup!
J’obtempère, je m’allonge sur le lit -en fait une table à langer géante- l'alèse est froide et son contact me donne le frisson.
Pendant que Léa déplie une couche, je tente de me justifier : "c'est surement une blague, ma femme veut me taquiner avec ça..."
Léa me coupe: "tu expliqueras ça au médecin, mon boulot c'est mettre les couches, pas de savoir pourquoi, alors lève tes fesses».
J'obtempère. Elle me retire le pullup : "ça c'est aussi une blague de ta femme?".
Je rougis, mort de honte.
Elle déplie une couche, Je reconnais une ABRIFORM XPLUS LARGE. Elle y ajoute une couche droite.
Même si j'ai fantasmé des milliers de fois cette situation. Je suis extrêmement embarrassé.
La réalité m'effraie, me confronte à mon ego. Je suis humilié.
Elle présente le paquet pour le glissé sous mes fesses, que je soulève sans rien dire, soumis à mon sort.
Pour l'honneur je me hasarde: "je pourrai la retirer pour aller faire pipi?"
La réponse de Léa est un simple sourire avec un clignement des yeux. Je l'interprète comme un accord tacite : elle fait son boulot je me débrouille après.
La nurse me saupoudre de talc parfumé. Elle me regarde dans les yeux : "je mets le même à mon bébé de 6 mois". Je suis humilié. Les larmes me montent aux yeux. Je fixe le plafond, alors qu'elle me dévisage.
"- Rentre ton ventre"
Je rentre le ventre elle rabat alors l'immense couche sur mon entrejambe, et positionne les scratch sur le paquet. D'abord ceux du bas, puis ceux du haut.
Je n'avais jamais porté ce genre de couche. La sensation entre les jambes, me ramène vers des sensations oublié depuis l'enfance.
Elle pose une main douce sur le devant de ma couche: "voila mon bébé». Je rougis.
"Ma femme doit passer me voir... elle va se moquer, si elle me voit ainsi... " Naïvement je précise "je  l'enlèverai avant qu'elle ne vienne" la réponse de Léa est un sourire.

La Professionnelle retourne vers son chariot, et prend un vêtement, le manipule et me tend des jambes à enfiler : "allez debout maintenant, enfile ça".
-c'est quoi?
-ton pyjama. Tous les incontinents ont ce modèle."
Je me redresse sur le bout de la table à langer, en position  assise, je glisse mes pieds dans les jambes du vêtement. Léa le remonte sur mes jambes, tandis que mes pieds touchent terre.
L'épaisseur du change, trouble ma perception et ma démarche. Léa en profite pour remonter le vêtement et me tend maintenant des manches à enfiler :"Cela s'appelle une grenouillère,  passe tes mains".

J’enfile les manches, le vêtement, une immense grenouillère me recouvre le corps et moule parfaitement le change énorme à ma taille.
"- retourne-toi".
Je balbutie: "mais on ne voit que ma couche!"
-"Et alors?"
Léa me fait pivoter en me tournant les épaules elle remonte le zip de la grenouillère.
-"ça se ferme dans le dos?"
-oui c'est plus pratique.
Plus pratique? Je ne trouve pas! Je vais avoir du mal à l'enlever
Cette dernière remarque fait éclater de rire Léa
-oui c'est sure! Attend une seconde...

CLICK!
"-c'est quoi se bruit?
-le petit cadenas" dit elle en me montrant une petite clé qu'elle glisse dans sa poche.
"-un cadenas?"}
Je tente immédiatement de porter les mains au dos de mon encolure. Mais c'est difficile, le vêtement est visiblement conçu pour gêner ce mouvement. J'arrive juste à attraper la fermeture  et tente de tirer dessus, mais elle à l'air d'être positionné en biais je n'y arrive pas.
"-mais comment je vais faire pour l'enlever?"
"Tu n'as pas à l'enlever" me rétorque Léa
-mais si je veux... enfin pour faire pipi"
Léa pouffe de rire, et me tapote les fesses pour seule réponse.
Je me tâte alors moi même les fesses: la couche est proéminente sous le vêtement : pas de doute sur ce que je porte.

Léa dit attend ce n’est pas fini: "une dernière chose et après j'ai fini mon boulot, tu pourras faire ce que tu veux"
-oui?
-donne tes deux mains"
La Nurse et la blonde au carré m'enfilent deux grosses moufles sur les mains.
Je demande "c'est quoi?"
"-des moufles"
CLICK  elle serre quelque chose sur le poignet droit
-des moufles?
CLICK.
"-oui des moufles de contention." S’éclaffe la femme blonde
-"des moufles de contention? Mais? Pourquoi faire?"
Elle rit: "essaie d'enlever ton pyjama".
Je tente d'agripper la fermeture, mais mes doigts glissent à l'intérieur des moufles épais. Je réalise également l'absence de pouce.
Je reste stupéfait: "mais vous m'aviez dit qu'après je pouvais faire ce que je voulais?".
-"oui tu es libre", elle me tapote les fesses "maintenant que tu es bien protégé et ne fera plus de bêtise".
Je baisse les yeux, vaincu; une larme de honte coule sur ma joue.


La porte s'ouvre, Docteur Lescop entre, suivi de Stéphanie qui pouffe de rire en me voyant.
"Alors mon grand bébé qui passe ses soirées sur ABKINGDOM?  Enfin en couche?".

Docteur Lescop : Cela c'est bien passé Léa?
Léa: "oui, il s'est parfaitement laissé faire. Il est même un peu naïf ce grand bébé!"
-"Stéphanie? Pourquoi?
-tu me délaisses. Tu passes plus de temps devant ton pc qu'avec moi. Tu en salis même tes slips!"
Léa: "coté slip, je crois que c'est réglé madame"
Elle éclate de rire.
Je rougis, je baisse les yeux.

Docteur Lescop intervient : "dans une semaine il sera vraiment incontinent, et il ne se tripotera plus!". Nouvel éclat de rire.
Cette dernière remarque me surprend : "hein?"
Stéphanie  précise : "finit de jouer avec son petit robinet qui fuit!".
-comment ça?
-tu es malade Régis, tu es atteint de compulsion sexuelle, et nous devons te guérir. Demain tu recevras une injection de ZOLADEX. C'est un médicament qui inhibera ta libido pour les 3 mois à venir.
-inhiber ma libido?
-"oui, ton taux de testostérone va chuter à zéro. Tu n'auras plus d'érection. Mieux tu n'y penseras même plus." précise le docteur Lescop
-"fini de se retourner sur les petits culs dans la rue " ajoute Stéphanie.
Léa ajoute alors : "c'est les petit cul qui vont se retourner sur ton gros popotin!".
Les filles éclatent à nouveau de rire.
Je n'en peux plus. Je tente à nouveau de me dévêtir. Mais je ne peux rien faire. Ces maudits moufles sont redoutables.
Docteur Lescop :"Bon, il est temps que tu rejoignes ta chambre et que tu te calmes.
"-Léa voulez vous le conduire vers sa chambre?" s'enquière la Doctoresse,
"-Bien sur Docteur Lescop; allez, suis moi petit pissou"
"-"fais moi un bisou mon bébé" demande Stéphanie
Je m'approche de Stéphanie qui me tend sa joue, comme on tend la joue à un enfant qui dit "bonne nuit" aux grandes personnes. Je lui fais un bisou. Elle me tapote les fesses. Je suis Léa vers le couloir.

Nous arrivons devant une chambre. Numéro 32.
Léa ouvre la porte. J’entre, je découvre une chambre avec un lit, un lavabo, une caméra de surveillance dans l'angle.
Sur le lit une sorte de sac de couchage ouvert m'attend. Allonges toi sur le sac dit Léa.
J'obtempère.
Léa ferme le sac. J’observe qu'elle utilise une sorte de clé pour fermer les épaules.
Puis elle tend une sorte de sangle qui me serre au dessus de la taille.
Elle quitte la pièce en me disant, je reviens.
Pendant ce temps, je tente de me relever. Le sac de couchage, une turbulette géante, me retient plaqué sur le lit. Je peux relever le buste, remuer les jambes. Mais je reste allongé bien en place. Je tourne la tête pour observer les épaules. Elles sont fermées par une sorte de bouton pression muni de deux trous latéraux. Evidemment mes moufles n’y peuvent rien...
Léa revient.
Elle me tend un énorme biberon il fait bien 2 litres : tient prend le avec des deux mains et boit.
Redresse toi, je vais mettre un oreiller sous ta tête, tu seras plus à ton aise pour boire.
Je prends le biberon entre mes deux moufles " que va-t-on me faire ici? C’est illégal!".
Léa me regarde avec cette fois de la compassion : "malheureusement, tu es venu ici avec un ordre d'internement. Tu n'as plus aucun droit. Comportes toi comme il faut tu ressortiras vite. Sinon, tu pourrais bien avoir un  bail à long terme...".
-"mais pourquoi ça?"
"Régis, tu as entendu le médecin et ta femme? Tu as un problème de comportement sexuel, et il met ta vie en danger. Tu dois être pris en charge. Allez boit ton biberon je n'ai pas que ça à faire".
Je me mets à téter le biberon. Ça à un gout de lait chocolaté. Pas mauvais. Mais 2 litres c'est beaucoup. Mon estomac est saturé au bout d'un litre et demi descendu en quelques minutes.
Léa m'encourage : "allez plus que quelques goutes». Je fini à grand peine le biberon.
Déjà ma vessie se distant et demande à se vider. J’en fais par à Léa qui me répond par un sourire et commence à masser le devant de ma couche au travers de mon couchage: " tu vas faire dodo, on te changera demain".
Je commence à avoir une érection, Léa amplifie son mouvement. Assise au bord du lit, elle a légèrement remonté sa jupe et j’aperçois le haut de ses bas. Je n'en peux plus, ma semence se répand dans la couche. Je suis exténué. J’ai envie de dormir. Léa se lève me retire les oreillers, se penche sur moi, me fait un bisou sur le front et me susurre à l'oreille "on sait même que tu es éjaculateur précoce. Bonne nuit bébé".

Je suis frustré. La salope. Elle ma fait ça que pour me dire ça! Elle s'éloigne vers la porte elle ajoute avant de quitter la pièce: "je pense que c'était la dernière fois avant longtemps...."
Elle éteint la lumière et ferme la porte.
La dernière fois avant longtemps? Le biberon est drogué? Trop de question ma tête tourne, j'ai envie de dormir. Ma vessie se relâche. Je m'endors.

Le Lendemain

La lumière s'allume. Le docteur Lescop pénètre dans la chambre, suivi d'une jeune infirmière que je ne connais pas: "bien dormi?"

La lumière m'éblouit, j'ai mal au crane. Je distingue les deux femmes qui sont désormais de chaque coté du lit.
L'infirmière, ouvre la turbulette, passe sa mains et précise : il est trempé Docteur.
Très bien se réjouit la Doctoresse : "Je vais m'occuper de toi personnellement ce matin. On commence par la douche".
L'infirmière me détache les deux femmes me guide alors vers une salle carrelée avec un siphon au sol.
L'infirmière me retire les moufles, et ma grenouillère. Je découvre quelle est trempé aux fesses. Ma couche se détend et tombe sur mes genoux. Avant que je ne réagisse docteur Lescop passe sur mes poignets des menottes reliées chacune à une chaine. Une fois celle ci tendu, je me retrouve les mains en l'air.
Vulnérable et exposé.

Le médecin m'enlève la couche,  la soupèse et dit : "tu t'es réveillé cette nuit?"
-non...
-alors, félicitation, bienvenu dans le monde de l'énurésie.
Je suis estomaqué.
Docteur Lescop ne s'arrête pas là elle continu ses investigations.
Tu avais la trique ce matin?
Je baisse les yeux : "non".
"C’est normal. Il y avait des petites choses dans ton biberon d'hier soir. Tu veux que l'on fasse un test?"
-un test?
Le Docteur Lescop manipule vigoureusement mon sexe. Mais rien. Aux contraire, cela m’ennui. Elle me regarde au fond des yeux. Me glace. Je cède : « OK…..stop »
Elle me reprend : « ok quoi ? »
-« j’arrive pas….. »

Elle me sourit : « mon pauvre…. », Puis se retourne vers Léa : « la douche et puis à la table gynéco ! »

Léa ouvre un robinet et je me retrouve sous une douche. Froide, elle me fait hurler et attaché, je ne peux m’y soustraire.
Puis la température se tiédit, et devient agréable.
Léa stoppe l’eau : « savonnage ! »
Elle s’approche de moi avec Véro – la blonde au carré – et me savonne énergétiquement. Véro, malicieuse, insiste sur mes parties flasques.
Puis Léa sort un pot de crème qu’elle commence à appliquer sur mon corps.
Ça pique et colle aux poils. Je le fait remarquer Léa sourie et Véro me dit : « oui, et après c’est les poils qui restent collé à la crème »

Oh non ! Elles m’épilent. Rien ne me sera épargné.

Une fois que je suis complètement tartiné, les filles me laissent seul quelques instants.
La crème me démange, mais je ne peux rien faire. Les mains attachées au dessus de la tête, ma position est inconfortable, et j’ai froid.
Après ce qui me parait une éternité, Véro réapparait et ouvre l’eau.
La douche tiède me réchauffe. C’est confortable.
La crème part, entrainée par l’eau. Et j’observe ma peau désormais glabre réapparaitre.
Mon sexe, dégarni et chauve me parait ridicule.
Véro remarque mon expression et s’exclame : « un vrai bébé ! ».



15 minutes plus tard, je me retrouve sur une table gynécologique, les pieds dans des étriers,  et attaché. Je ne peux plus bouger. Léa vérifie une dernière fois les attaches.
Le Docteur Lescop entre dans la pièce
« Alors ? Tu sais ce qui t’attend ? »
Je fais non de la tête.
Je vais te faire une injection de ZOLADEX, un médicament qui inhibe la production de testostérone sur une longue période. Minimum 3 mois mais sans doute 6.
« Tu vas être castré chimiquement. » elle marque une pause, « un eunuque ».
Je suis me débat en vain, les filles rient :
Docteur Lescop ajoute «  les effets sont impuissance, désintérêt pour le sexe, perte de libido, plus de branlette sur le web !, c’est pour ton bien et te guérir de ta paraphilie».

Docteur Lescop saisit alors une sorte de grosse seringue, et applique l’aiguille sur mon bas ventre : « je vais injecter un implant sous la peau de ton abdomen qui relarguera le produit pendant les prochains mois. »
Elle enfonce l’aiguille sous ma peau, ce qui me fait grimacer, et enfonce l’implant. « Voila, ça c’est fait ! »
« Maintenant, nous allons aussi te donner une petite leçon de la part de Stéphanie ».
Le visage de Léa  s’illumine d’un grand sourire : « tu aimes les couches ? »
Je rougis et détourne les yeux.
Docteur Lescop reprend la parole : «  tu vas devoir en porter pendant toute la durée de ton traitement. Je vais te poser un STEN. Cela va maintenir ton sphincter strié ouvert, laissant ton sphincter lisse vidé ta vessie comme un bébé. »
« NON ! Pas ça !  Je vous en prie ? »
« C’est une demande spéciale de Stéphanie, je ne peux pas lui refuser ça » ajoute le docteur d’un ton sarcastique.

Le docteur Lescop se saisie d’une sorte d’endoscope et commence à l’enfoncer dans mon pénis.
Je ferme les yeux. Je ressens une petite sensation douloureuse le long de mon urètre.
Cela dure quelque instant, puis une  seconde sensation, de mouvement.
Tout à coup, je ressens comme un étirement et j’ai mal. J’ouvre les yeux.
« Ça y est le STEN est en place, sur le sphincter strié comme prévu. Finalement c’était simple. »
« Mais ça me gène »
« Ne t’inquiète pas tu ne sentiras plus rien dans quelques instants. Ton sphincter est en permanence ouvert de quelques millimètres. Ça ne te laisseras pas de séquelles »
Les filles se regardent et pouffent de rire.
« A part  ton incontinence » ajoute le médecin.
Léa, vous le langez et le ramenez à sa chambre, même tenue qu’hier.

Léa me détache les jambes et me passe un nouveau lange – un ABRIFOM XPLUS LARGE et un insert – puis m’enfile une culotte de plastique de couleur laiteuse et bruyante.je me retrouve à nouveau en grenouillère et moufles sur les mains.
En chemin, je ressens soudain de l’humidité se répandre dans ma couche. Je m’arrête net et porte mes mains, tout au moins mes moufles, à mon entrejambes. Geste tout à fait ridicule qui fait éclater de rire Véro : « bébé a fait son gros pipi ? C’est sorti tout seul ? »
Je rejoins ma chambre complètement dévasté.
Véro m’attache sur le lit dans la turbulette. Elle me présente un verre d’eau et des cachets que je prends sans résistance.
Elle me dit : « allez fait un gros dodo. » et quitte la pièce.
Je humilié au plus profond de moi.
Je fonds en larme : que vais-je devenir ?

A suivre.

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